À son oncle Cord’homme
[Fragment]
... Un officier prussien est venu se promener dans Étretat en uniforme. La population indignée s’est ameutée. Alors, plusieurs propriétaires et moi avons été trouver le Maire... Le Maire nous a répondu avec insolence... que les Français étaient des braillards et des lâches et que puisque les Prussiens nous avaient battus nous n’avions rien à dire...
[Cité par A. Lanoux, op. cit.]