À Victor Havard
Mon cher éditeur et ami,
Impossible mardi, c’est jour de chronique.
Je vous serais bien reconnaissant aussi de changer le déjeuner en dîner. J’ai pris pour règle absolue de ne jamais déjeuner dehors, afin de consacrer mes journées entières au travail, et une seule interruption dans mes habitudes de labeur me détraque tout à fait.
Je dîne en ville mercredi et vendredi. Je suis libre jeudi, et je pars samedi pour huit jours en Normandie. Si jeudi vous gêne en quelque chose, voulez-vous remettre cela à mon retour.
Mille amitiés.