À Émile Zola
Sartrouville, ce mardi [printemps 1882]. |
Cher Maître et ami,
Je n’ai reçu qu’hier votre aimable invitation que vous m’aviez envoyée à mon domicile de Paris. J’accepte avec le plus grand plaisir. Voici un temps infini que je n’ai pu aller vous voir, étant à présent tout à fait installé à Sartrouville pour le printemps.
Je n’ai pas encore lu Pot-Bouille que je n’ai pas. Le volume sans doute m’attend à Paris.
Mais j’ai envoyé une dépêche pour qu’on me l’adresse ici et j’attends aujourd’hui.
Croyez, cher Maître et ami, à mes sentiments les plus cordialement dévoués et présentez, je vous prie, à Madame Zola mes compliments respectueux.