À Victor Havard
[Cannes.] [Reçue le 31 janvier 1884.] |
Mon cher éditeur et ami,
Pouvez-vous me rendre tout de suite le service suivant : c’est de toucher pour moi les 450 francs de ce reçu et de me les envoyer le plus tôt que vous pourrez, aujourd’hui même si possible. J’attendais l’argent, on m’envoie un bon !...
Prière de mettre un timbre et de l’annuler.
Je compte sur votre complaisance, dont j’abuse. Comptant sur vous, je ne demande pas d’argent ailleurs, aussi je vous prie de m’envoyer cela tout de suite, car je vais me trouver à court.
Merci, et bien cordialement à vous.