À Victor Havard
Mon cher éditeur et ami,
Je renvoie les premières épreuves à Madame Brun. Il est inutile de me les remettre de nouveau après la mise en pages. Madame Brun les relira seulement. Puis vous donnerez le bon à tirer.
Je vous serre bien cordialement la main.
La nouvelle pour le Figaro va très bien. Allez vite. Nous n’avons plus que 18 jours.