À Victor Havard
La Guillette, Étretat, le 15 septembre 1886. |
Mon cher ami,
C’est la faute de mes yeux si je ne vous écris pas moi-même ; cela ne veut point dire pourtant que j’aille plus mal, au contraire.
Je vous remercie et de la nouvelle que vous m’annoncez et de la proposition que vous me faites. Je suis entièrement à votre disposition, et très heureux si je peux vous être utile.
J’irai donc vous voir aussitôt rentré à Paris, c’est-à-dire au commencement de la semaine prochaine et vous me direz ce que vous désirez que je fasse.
Je vous serre cordialement la main.
0 [La signature est seule de sa main.]