À Victor Havard
[Reçue le 7 février 1887.] |
Mon cher ami,
Pourrez-vous me venir voir jeudi avant midi ? Je pars jeudi soir.
Envoyez un nouveau Mont-Oriol à M. Arthur Meyer, au Gaulois. Il n’a pas reçu le sien, et s’en est plaint à moi.
Surtout, pensez à m’envoyer tous les articles parus
1.
Je vous serre bien cordialement la main.
1 Cf. Lumbroso, op. cit. Lettre de V. Havard, du 12 février 1887 : « Mont-Oriol ne marche toujours pas raide (à peine cent par jour)... » Projet de traduction en suédois avec Nilsson. Voir infra, lettre N° 450.