À Victor Havard
Mon cher ami,
En mettant en vente un volume de chroniques chez Ollendorff, je m’aperçois, avec désolation, que j’ai laissé passer dedans un conte Sauvée, paru déjà dans La Petite Roque.
Mme Brun, qui a corrigé les épreuves, ne s’en est pas aperçue non plus.
Je veux vous prévenir tout de suite de cette erreur.
Je vous serre bien cordialement la main.
Vous êtes-vous occupé de Clair de Lune ?