À Victor Havard
Cannes, Villa Continentale. [Reçue le 10 février 1888.] |
Mon cher éditeur,
J’ai de tels soucis ici pour la santé des miens que je n’ai pu vous répondre plus tôt. Merci pour ce que vous me dites de gracieux sur Pierre et Jean.
Quant à la traduction en espagnol de Mont-Oriol, autorisez contre argent comptant que vous porterez à mon avoir.
Je vous serre cordialement la main.