À Oscar Méténier
Aix-les-Bains, Maison de Varicourt. [Avril 1888 ?] |
Mon cher confrère,
Votre seconde lettre me rejoint à Aix-les-Bains où j’arrive après un assez long voyage. Je suis fort embarrassé pour vous répondre, car je ne peux, en ce moment, me livrer à aucun travail, et cela depuis plus de huit mois, pour raison de santé. Il m’a donc été impossible de lire votre plan. Je ne peux que vous dire : « Faites seul, ce que vous voudrez ».
Croyez, mon cher confrère, à tous mes sentiments très dévoués.