À Victor Havard
10, rue de Montchanin. [Reçue le 23 juillet 1888.] |
Mon cher ami,
Vous m’avez offert l’autre jour de l’argent pour le mois d’août et je viens vous demander si je puis disposer par traites, dont je vous donnerais avis, de 2000 fr. au 30 octobre. Étant donné la vente de l’été, cela ne ferait guère plus de 1000 francs d’avance sur le volume de nouvelles que je vous donnerai vers cette époque.
Je vous serre bien cordialement la main.