À Catulle Mendès
10, rue de Montchanin [1889.] |
Mon cher ami,
Aucune phrase, écrite ou parlée, ne peut apporter une ombre de soulagement ou de consolation quand la mort nous touche.
Je tiens seulement à vous dire que je vous plains de tout mon cœur et que je vous serre bien amicalement les mains.