À Victor Havard
Cannes, Pension Marie-Louise. [Reçue le 23 février 1890.] |
Mon cher ami,
Je vous ai envoyé hier une nouvelle Lequel, que je vous prie de faire composer. Changez le titre pour celui-ci :
Elle suivra Le Champ d’Oliviers dans votre volume. Viendront ensuite Mouche, parue à l’Écho il y a quinze jours, puis Le Noyé, L’Épreuve, Le Masque, Un Portrait, L’Infirme, Les Vingt-Cinq Francs de la Supérieure que je vous adresse aujourd’hui.
Vous y ajouterez encore Qui sait et Le Train monégasque, à paraître d’ici à quinze jours dans L’Écho de Paris.
Vous recevrez incessamment Le Champ d’Oliviers. J’ai une petite modification à faire à la fin. Ce sera fait dans deux jours.
Je vous serre bien cordialement la main, mon cher ami.
1 Cf. Lumbroso, op. cit. Réponse de V. Havard, 1er mars 1890 : « Je vous remercie d’avoir bien voulu me donner ce nouveau titre qui est, en effet, excellent... »