À Léon Fontaine
Mon cher ami,
Je passerai tantôt au théâtre et je prendrai une loge pour toi. Je te l’enverrai ce soir. Pourquoi ne nous voyons-nous plus jamais ? Ce n’est pas l’occasion de dire cela, car je pars pour Nice après-demain ; il fait vraiment trop froid ici. Tous mes compliments à tes parents, et pour toi une cordiale poignée de main.
Dès mon retour à Paris dans six semaines, je te demanderai de nous retrouver et de nous revoir un peu plus.