À Louis Le Poittevin
Je ne puis tenir entièrement ma promesse, cependant j’en remplirai une partie.
Pinchon m’écrit des lettres furibondes me disant qu’il voit que je ne veux pas aller chez lui. Je lui donnerai donc ma journée de lundi. Mais j’irai te demander à dîner dimanche soir, puis je prendrai le train de Dieppe à 9 h. 30. Si tu avais un empêchement, écris-moi un mot que je recevrai à Croisset dimanche matin.
Je te serre les membres. Mille compliments à ta femme.
T’embrasse.