À Gustave Claudin
10, rue de Montchanin. [Après 1884.] |
Mon cher confrère et ami,
Je vous serais tout à fait obligé et tout à fait reconnaissant si vous pouviez indiquer à une charmante et excellente femme de lettres, pleine de talent, Madame Fornel, un journal illustré et familial où elle pourrait faire paraître quelques jolies nouvelles.
Je vous serre bien cordialement les mains.