De Laure de Maupassant à M. Dargouge
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[...] J’ai été très émue par tout ce qui a été écrit à propos de l’inauguration du buste de mon fils à Rouen ; car si les éloges du pauvre disparu ont flatté mon orgueil de mère, tout ce bruit a ravivé des douleurs toujours cuisantes et fait saigner des plaies jamais fermées. J’ai dû cesser de lire les journaux et clore mes yeux et mes oreilles afin de retrouver un peu de calme. [...]