À Aurélien Scholl
Mon cher grand confrère et ami,
Je ne reçois point L’Événement, et c’est par hasard que j’ai vu chez un ami qui avait le numéro, l’article si aimable que vous avez fait sur moi cet été.
Excusez-moi donc de ne vous avoir pas remercié plus tôt, comme je le fais aujourd’hui de grand cœur, et croyez-moi votre bien cordialement dévoué.