À Gisèle d’Estoc1
Ma belle amie,
Ta lettre m’est parvenue à Cannes d’où je suis revenu avant-hier et où je retourne dans huit jours, car je ne fais guère que traverser Paris maintenant.
Veux-tu me faire le plaisir de venir dîner chez moi dimanche ? C’est le meilleur moyen de me parler de ce que tu fais. J’aurai deux amis que tu ne connais pas, je pense, Jules Lemaître, rédacteur à la Revue politique et littéraire et Georges Legrand.
Je te présenterai ces confrères en leur disant que tu écris.
1 Pour cette lettre, comme pour les deux suivantes, l’identification de la destinataire est incertaine.