À Victor Havard
Paris, le 31 octobre 1891. 24, rue Boccador. |
Reçu de Monsieur Victor Havard, éditeur à Paris, la somme de deux mille trois cent quarante-sept francs cinquante centimes, montant des états de situation fournis par le dit Havard le 30 juin 1891 et le 30 septembre 1891.
Note (sans date) de Maupassant
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Havard me devait :
Inutile Beauté, 9500 ex., soit 3000 à 40 c. 6500 à 1 fr.
Me redoit encore |
1200 fr. 6500 fr. 7700 fr. 1700 fr. |
1 L’Inutile Beauté a été édité par Havard en avril 1890. — Le 14 octobre 1891, Havard avait écrit, non plus à Maupassant, mais à l’avoué de ce dernier, Jacob, pour lui envoyer l’état de compte du romancier (3e trimestre 1891) ; il fait remarquer que Maupassant n’a pas encaissé le 2e trimestre mis à sa disposition depuis le 9 juillet. Les relations avec Havard sont désormais détériorées. (Voir Lumbroso, op. cit.)