De Charles Cord’homme
au docteur Meuriot
Monsieur,
Je vous remercie des renseignements que vous voulez bien me donner sur la santé de mon neveu Guy de Maupassant. J’espère que vos bons soins le ramèneront à la santé ; et je compte sur votre obligeance pour me tenir au courant de l’état de notre cher malade.
Dans quelques temps, lorsque vous le jugerez convenable, j’irai le voir.
Recevez, Monsieur, l’assurance de ma considération distinguée.
À Monsieur le Doctr Meriot [sic]