À Mme Émile Straus
Paris [6 juillet 1888, date de la poste]. |
Madame,
L’antipyrine m’ayant rendu un peu de repos, je serai bien forcé d’aller chez Zola. Mais je ne prendrai que le train de 3 h. 20 et j’espère avoir le plaisir de vous voir chez vous auparavant.
Je suis extrêmement nerveux, ce qui est mauvais pour la migraine.
Je vous baise les mains, Madame, en me disant votre très dévoué admirateur.